Millie Kessler, une adolescente de 17 ans, occupée à faire bonne figure dans son très élitiste lycée, Blissfield High, devient la nouvelle cible du Boucher, un tueur en série tristement notoire. Son année de Terminale va alors devenir le cadet de ses soucis. Lorsque, sous l’effet du poignard antique du Boucher ils se réveillent dans le corps de l’autre, Millie n’a alors que 24 heures pour retrouver son corps afin de ne pas rester coincée pour le restant de ses jours dans la peau d’un tueur en série d’une cinquantaine d’années. Tâche délicate étant donné qu’elle ressemble désormais à une armoire à glace psychopathe, recherché par la police et cible d’une chasse à l’homme locale… alors que le Boucher, lui, dans la peau de la jeune fille, est bien décidé à célébrer un retour en fanfare dans un bain de sang.
La lignée des Joestar traverse les âges et les univers parallèles. Grâce à leurs stands, des pouvoirs psychiques utilisés pour se battre, les membres de cette famille issue de l’Angleterre victorienne parviennent à repousser les entités surnaturelles qui menacent la Terre. Ici, Josuke devra faire preuve d’exploits pour sauver sa ville, en proie à d’étranges événements. Dans la ville de Morioh, Higashikata Josuke est le fils illégitime de Joseph Joestar. Il possède un Stand, nommé Crazy Diamond, qui lui permet notamment de réparer les objets cassés.
Un film à sketches en hommage au légendaire “Art du Grand Guignol” réunissant sept cinéastes de l’horreur. THE MOTHER OF TOADS de Richard Stanley : En France, un couple de vacanciers rencontre une sorcière qui prétend posséder une copie du Necronomicon. I LOVE YOU de Buddy Giovinazzo : Une femme annonce à son mari qu’elle le quitte. THE ACCIDENT de Douglas Buck : Une mère et sa fille sont témoins d’un accident de la route. WET DREAMS de Tom Savini : Une femme blessée se venge de son mari infidèle. VISION STAINS de Karim Hussain : Une tueuse en série extrait les souvenirs de ses victimes à l’aide d’une seringue. SWEETS de David Gregory : Un couple obsédé par la bouffe consume son amour. THEATRE GUIGNOL de Jeremy Kasten : Une salle de cinéma se transforme en véritable théâtre de pantins sous l’égide d’un automate.