En 1945, dans les décombres de Berlin. Susanne Wallner, une jeune photographe rescapée des camps, revient dans son appartement, qu'elle trouve occupé par Hans Mertens, un ancien soldat dépressif et alcoolique. Contre son gré, Susanne doit s'installer avec lui. Peu à peu, elle se découvre une profonde sympathie pour Mertens, qu'elle aide à se reconstruire. Un jour réapparaît l'officier qui commandait Mertens, un certain Ferdinand Brückner, qui a fait assassiner des civils sur le front russe en 1942 avant de se faire oublier à la faveur des troubles de l'après-guerre. Il gère désormais avec succès une petite entreprise de recyclage de vieux casques. Mertens, hanté par le souvenir des atrocités commises par Brückner, décide qu'il est temps que cet homme expie tous ses péchés. Il échafaude alors un plan visant à l'assassiner...
Malgré sa renommée, Taillandier, la soixantaine, a brusquement cessé de peindre. En pleine déprime, il décide de partir de chez lui, sans but précis et sans donner d’explication à ses proches. Au cours de son périple, il fait l’étrange rencontre d’une adolescente égarée, Marylou, que sa mère a rejetée. La gamine perdue et l’homme au bout du rouleau feront un bout de chemin ensemble. Finalement, vivant tels un père et sa fille, dans la quiétude d’une maison de location, ils se feront «la courte échelle» et retrouveront un nouveau sens à leur vie.
Un jeune biologiste, Tyler, est envoyé en Arctique pour enquêter sur des massacres de caribous. Il est notamment chargé de déterminer si les meutes de loups en sont responsables. Il se fait déposer dans les contrées glacées du Grand Nord, où il compte rester six mois. Les premiers contacts avec le milieu naturel s'avèrent pénibles pour Tyler, qui poursuit sa route seul mais finit par repérer un couple de loups blancs. Tout en les observant, Tyler apprend à connaître leurs moeurs et en tire de surprenantes conclusions. D'après ses observations, les loups ne seraient pour rien dans la disparition des caribous, car ces animaux n'entrent pas dans leur régime alimentaire. Le ou les coupables restent à démasquer...