Une institutrice terre à terre s'engage dans une relation compliquée avec un homme d'affaires new-yorkais au caractère réservé.

Elizabeth Scott, enseignante dans le privé, est suspendue pour avoir refusé de donner ses examens à un membre de l'équipe de hockey, fils d'une famille influente. Pour se changer les idées, la jeune femme, par ailleurs passionnée par les expositions canines, décide d'aller travailler à New York auprès de Gabrielle qui rencontre des difficultés à présenter ses chiennes en concours. Elle ne tarde pas à croiser le ténébreux et réputé juge Darcy, à la tête d'une puissante fondation caritative.

Une jeune policière rêvant de trouver l'amour et un propriétaire de bar entre dans un jeu romantique du chat et de la souris alors qu'ils voulaient orienter leurs vies amoureuses dans d'autres directions.

Au XIXe siècle, Londres est isolé des comtés avoisinants par l’entre-deux, une région dominée par des zombies affamés de cerveaux humains. Cependant, malgré la menace constante, l’aristocratie anglaise poursuit son mode de vie habituel avec ses bals et activités mondaines. Pendant ce temps, dans l’Hertfordshire, M. Bennet a d’autres soucis, car il subit la pression de sa femme pour marier ses cinq filles. Peu enclines à satisfaire les vœux de leur mère, les jeunes femmes qui maîtrisent les arts martiaux et une multitude d’armes prennent plutôt plaisir à affronter les créatures de la mort. Mais, l’arrivée du séduisant M. Bigley et de son ami, M. Darcy, un réputé tueur de zombies, vient toutefois chavirer leur petit monde.

Elizabeth Bennet, 20 ans, est la seconde fille de Mr et Mrs Bennet. Elle grandit aux cotés de ses quatre autres sœurs et affectionne particulièrement Jane, de deux ans son aînée. Cette dernière est réputée pour sa douceur et sa beauté dans toute la ville de Meryton. Elizabeth, quant à elle, est une jeune fille ravissante, vive d’esprit, aimant observer la société dans laquelle elle évolue mais aimant surtout se moquer des sottises d’autrui. La famille Bennet est simple et très liée, faisant fi de certaines convenances exigée par l’étiquette à l’époque de Jane Austen. Mrs Bennet n’a qu’une idée en tête : marier ses cinq filles afin d’assurer leur avenir ainsi que celui de toute la famille.