Un ado mal dans sa peau aux idées noires se fait virer de son internat. De retour à son domicile, il constate que sa grand-mère qu'il ne connaît pas, s'est installée. D'abord furieux de sa présence, il ne va pas tarder à découvrir que c'est une femme drôle, impolie, intrépide et coquette.
1922, Marcel Proust sur son lit de mort regarde des photos et se remémore sa vie. Sa vie, c'est son œuvre et les personnages de la réalité se mélangent avec ceux de la fiction et la fiction prend peu à peu le pas sur la réalité. Tous ses personnages se mettent à hanter le petit appartement de la rue Hamelin et les jours heureux de son enfance alternent avec les souvenirs plus proches de sa vie sociale et littéraire.
La suite des aventures du trio de la septième compagnie lors de la débâcle de juin 1940 : Tassin, Chaudard et Pithivier échappent aux Allemands et sont recueillis en caleçon par la mère Crouzy qui leur fournit des uniformes d’officiers français abandonnés par leurs détenteurs pendant la débâcle. Nos trois héros se font arrêter à nouveau et sont conduits dans un château où une grande partie de l’état‐major français est détenue. Les trois bidasses, devenus officiers malgré eux, sont sur le point de faire évader tous ces officiers quand, malencontreusement, alors qu’ils referment la porte derrière eux, plusieurs arbres s’écroulent et bloquent la sortie, obligeant les officiers à rebrousser chemin. Quant aux trois soldats, ils se retrouvent enfin libres. S’ensuit une petite série d’évasions à chaque fois sous l’œil médusé de leur supérieur le capitaine Dumont qui ne comprend pas comment font ces trois tocards pour s’évader.