1990. Arthur a vingt ans et il est étudiant à Rennes. Sa vie bascule le jour où il rencontre Jacques, un écrivain qui habite à Paris avec son jeune fils. Le temps d’un été, Arthur et Jacques vont se plaire et s’aimer. Mais cet amour, Jacques sait qu’il faut le vivre vite.
Le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg n'aime pas le printemps. Il se méfie des montées de sève, des désirs d'évasion, du déferlement des pulsions, tous ces signaux qui sonnent le retour des beaux jours... Et il a raison Adamsberg... Sa fiancée, Camille, prend du recul, et son absence coupe les ailes du commissaire, au moment où il en aurait le plus besoin : Quelque chose vient de tomber sur la capitale, une énigme porteuse de malédiction, qui pourrait bien virer au malheur, si on ne la résout pas fissa... D'étranges signaux se répandent sur les portes des immeubles de Paris, et des mots inquiétants, mystérieux, sont lâchés à la criée sur les marchés... Et puis arrive ce qu'Adamsberg redoutait : Un premier mort, le corps noirci, le visage figé dans une grimace de terreur, les signes de la peste... Et c'était ça qu'annonçait l'énigme : Le retour du terrible fléau, mais avec une sacrée variante, il semble que quelqu'un contrôle la maladie et la porte où il veut.