Lorsqu’elle prend sa retraite, une mère quitte son pavillon d’une paisible bourgade en Forêt-Noire, rompant avec ses souvenirs d’une vie de famille idéale. Elle prend l’avion pour Hong-Kong, alors secouée par les manifestations pro-démocratie. Elle sait que son fils y vit, mais c’est en solitaire qu’elle va suivre un véritable chemin initiatique.
Judy Wood a contribué à modifier la loi sur l’asile aux États-Unis en représentant Asefa, une femme qui a fui son pays après avoir été persécutée par les talibans pour avoir tenté de créer une école pour filles.
Toujours traumatisés par la mort de leur fille unique Alice, suite à l’attaque d’un chien enragé, Patrick et Louise déménagent dans la petite bourgade reculée de Wake Wood. Là-bas, alors que la vie reprend son cours, ils apprennent qu’un rite païen séculaire pratiqué dans la région pourrait leur permettre de déjouer le décès de la fillette de neuf ans et passer ainsi trois jours de plus avec elle…
Tokyo, fin des années 60. Kizuki, le meilleur ami de Watanabe, s’est suicidé. Watanabe quitte alors Kobe et s’installe à Tokyo pour commencer ses études universitaires. Alors qu’un peu partout, les étudiants se révoltent contre les institutions, la vie de Watanabe est, elle aussi, bouleversée quand il retrouve Naoko, ancienne petite amie de Kizuki. Fragile et repliée sur elle-même, Naoko n’a pas encore surmonté la mort de Kizuki. Watanabe et Naoko passent les dimanches ensemble et le soir de l’anniversaire des 20 ans de Naoko, ils font l’amour. Mais le lendemain, elle disparaît sans laisser de traces. Watanabe semble alors mettre sa vie en suspension depuis la perte inexplicable de ce premier amour. Lorsqu’enfin il reçoit une lettre de Naoko, il vient à peine de rencontrer Midori, belle, drôle et vive qui ne demande qu’à lui offrir son amour.
Evocation de la vie d’Ed Wood, réalisateur considéré de son vivant comme le plus mauvais de tous les temps, aujourd’hui adulé et venéré par des milliers d’amateurs de bizarre et de fantastique à travers le monde.