Le père
Anthony est un octogénaire (malicieux) vivant seul. Effronté, il refuse les aidants que sa fille, Anne, lui présente de façon encourageante. Pourtant, l’aide devient aussi une nécessité pour Anne; elle ne peut plus faire de visites quotidiennes et l’emprise d’Anthony sur la réalité s’effrite. Alors que nous sommes témoins des fluctuations de sa mémoire, dans quelle mesure Anthony peut-il s’accrocher à sa propre identité et à son passé? Comment Anne peut-elle faire face à la perte de son père, alors qu’il vit et respire encore devant elle ?