Bonne chance
Jeune repasseuse de 20 ans, Marie Muscat est fiancée à Prosper, un garçon timide qu'elle n'aime pas, qui est parti pour une période militaire de quinze jours. Un matin, elle croise son voisin de palier, Claude, un peintre sans argent ni succès qui lui souhaite «bonne chance». Un petit bonheur survenant peu après, elle décide de prendre un billet de loterie et, superstitieuse, de partager avec lui si la fortune lui sourit. Le billet lui faisant gagner le gros lot, elle s'acquitte de sa promesse auprès de Claude qui l'invite alors pour un voyage «en camarades», avant le retour de Prosper.