Dialogue intergénérationnel au sommet : Greta Stocklassa, jeune cinéaste engagée, interroge le diplomate suédois Hans Blix, resté célèbre pour avoir essayé d’empêcher l’invasion de l’Irak.
Réseaux sociaux, militantisme exacerbé, Cancel Culture, la crise du Covid n’aura fait qu’accélérer l’émergence du nouveau monde… Fabrice Eboué se sent déjà dépassé… Après le succès de « Plus Rien à Perdre » et cette longue période de pandémie, Fabrice Eboué revient sur scène avec son quatrième et nouveau spectacle !
Fin des années 1950 en France. Une femme, deux hommes. Elle, Ève Faugère, une diva glamour au sommet de sa carrière. L’homme, son mari, Maurice Faugère, immense auteur qui l’a faite et propulsée des années au firmament de la chanson. Et enfin l’amant, Jean Leprat, son pianiste qui l’adore et brûle de passion pour elle. Le poison atroce de la jalousie va les consumer jusqu’à la tragédie, le piège d’une machination machiavélique va les emporter tous les trois. Et elle, l’autre, la si jolie Florence, si fraîche. Cette jeune chanteuse ambitieuse, prête à tout pour renverser celle qu’elle admire, n’est-elle pas elle aussi prise au piège d’un jeu diabolique qui la dépasse ? D’où vient le danger ? Qui orchestre ce manège fatal gravé dans le vinyle des tout nouveaux 45 tours qui apporte chaque jour son message vénéneux ? Qui va mourir ? Qui va survivre ?
Paris 1941. François Mercier est un homme ordinaire qui n’aspire qu’à fonder une famille avec la femme qu’il aime, Blanche. Il est aussi l’employé d’un joaillier talentueux, M. Haffmann. Mais face à l’occupation allemande, les deux hommes n’auront d’autre choix que de conclure un accord dont les conséquences, au fil des mois, bouleverseront le destin de nos trois personnages.
Un vieux resto parisien qui garde son charme depuis toujours ». Huit messieurs sont attablés, huit grandes figures, connues comme les « rois de Paris ». Ce sont des trésors nationaux, des chefs-d'œuvre en péril, qui ont un rituel bien établi. Ils ont un sens de l’humour et de l’autodérision intacts. On y retrouve de la tendresse et de la cruauté entre ces huit vieux amis qui se détestent et s’aiment à la fois. Et tout à coup, un intrus s'invite...
Après avoir fait le pacte de rompre avant de partir à l'université, Claire et Aidan entament leur ultime soirée en tant que couple. Lors de ce rendez-vous exceptionnel, ils retracent les étapes de leur relation, de leur première rencontre et leur premier baiser à leur première dispute. Mais peu à peu, leur quête de réponses les amène à un tournant décisif : ne devraient-ils pas rester ensemble plutôt que de se dire définitivement adieu ? Inspirée du best-seller de Jennifer E. Smith, Hello, adieu, et nous au milieu est une charmante comédie romantique des producteurs de la célèbre franchise À tous les garçons.
Lorsque Suze Trappet apprend à 43 ans qu’elle est sérieusement malade, elle décide de partir à la recherche de l’enfant qu’elle a été forcée d’abandonner quand elle avait 15 ans. Sa quête administrative va lui faire croiser JB, quinquagénaire en plein burn out, et M. Blin, archiviste aveugle d’un enthousiasme impressionnant. À eux trois, ils se lancent dans une quête aussi spectaculaire qu’improbable.
Carla reçoit un appel de sa sœur : son père, à qui elle ne parle plus depuis des années, est gravement malade. Elle décide donc de lui rendre visite. Alors que sa sœur semble accepter la situation, Carla n’est pas prête à dire adieu.
Le propos est simple. Une femme mariée et un homme libre se rencontrent. Ils s'aiment, se disputent, les coups pleuvent. Un chien erre entre ville et campagne. Les saisons passent. L'homme et la femme se retrouvent. Le chien se trouve entre eux. L'autre est dans l'un. L'un est dans l'autre. Et ce sont les trois personnes. L'ancien mari fait tout exploser. Un deuxième film commence. Le même que le premier. Et pourtant pas. De l'espèce humaine on passe à la métaphore. Ça finira par des aboiements. Et des cris de bébé.
Armand is torn between his wife, mistress and estranged kids - Then Granny dies and he faces a profound existential question: burn her or bury her?